Porteur de bonne nouvelle

Chaque fin d’année, qu’on le veuille ou non, crée en nous un sentiment de« passage ». Il y a un avant et un après.
 
Cet« avant », pour certains, peut nous trouver très occupé ou sollicité, pour d’autres très solitaire, et cet« après »peut nous porter vers la crainte de l’inconnu ou, à l’inverse, vers la dynamique de l’espérance.
 
Dans tout ce processus qui nous caractérise avec son cortège de différences, de sensibilités, de convictions, chacun, dans son for intérieur, se pose à un moment ou un autre cette question: y a-t-il une bonne nouvelle pour moi ?
 
Il faut souligner le fait que, pour toute personne qui souffre de stress, de mobbing, d’injustice, d’abus, mais aussi de sur occupation, oser un jour demander de l’aide, requiert un grand effort. C’est également un honneur, mais aussi une grande responsabilité, de se trouver en face d’une telle personne pour qu’elle se sente  prioritairement aimée et écoutée pour ensuite être conduite sur un chemin d’espérance.
 
L’« après » c’est, pour trois de nos praticiennes dont nous prenons congé avec émotion et gratitude, l’entrée dans une nouvelle étape de vie, celle qui suit la fi n de l’activité professionnelle. C’est aussi l’arrivée de trois nouvelles collaboratrices que nous accueillons avec beaucoup de joie.
Toutes sont porteuses de bonne nouvelle. Que la bénédiction de Dieu accompagne chacune d’elles.
 
Prenons le temps de nous rappeler qu’il y a 2000 ans environ, de simples bergers furent les tout premiers à entendre un ange leur annoncer la Bonne Nouvelle du plus grand événement de l’histoire, Jésus parmi les hommes.
 
Heureux Noël à vous tous !
 

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